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Les solutions

La détection et la réduction des champs électriques et magnétiques paraissent essentielles si l'on veut préserver les lieux de vie et de travail des nuisances multiples qui peuvent affecter notre santé (voir aussi à ce propos les rubriques Traitement de l'eau, Traitement de l'air, Traitement de la lumière).
En outre, on sait que l'influence des champs électromagnétiques diminue quand on s'éloigne des appareils rayonnants. Le champ magnétique surtout présente l'avantage de diminuer avec la distance. Si, tout près d'un appareil, il peut atteindre des valeurs de 10 à 1000 mG, à une distance d'un mètre, ces champs ne correspondent plus qu'à une fraction de milligauss. L'éloignement d'une source émettrice de champs reste donc une protection très sûre.
Pour vous prémunir des forces électriques, vous pouvez, par ailleurs, ériger un mur entre votre maison et les câbles d'alimentation du réseau, ou bien planter des arbres ou une haie d'arbustes de haute taille. Ce procédé a toutefois ses limites, puisqu'il ne permet pas de contrer les champs magnétiques, ceux-ci traversant les structures solides.
Concernant la construction et l'aménagement de votre intérieur, le mieux est de prendre en considération un certain nombre de règles élémentaires.
Par exemple, il faut tenir compte du fait que les champs trouvent souvent leur origine autour des câbles, mais aussi autour des luminaires, des appliques murales ou des plafonniers non reliés à la terre.
Ils pénètrent également dans le cœur du bois où ils s'installent (on les mesure autour des poutres, des châssis, du lambris, et au-dessus des planchers) et dans les cloisons en plâtre.
Un tel phénomène n'a pas lieu avec des murs traditionnels en briques ou les murs en béton constitués d'une armature en acier, car les champs électriques sont alors partiellement absorbés et renvoyés à la terre.
Les courants induits posent également problème. Tout objet métallique : clôture, étendoir, tuteur de plantation, portique, fils de fer divers, qui se situe dans un champ électrique et susceptible de devenir un objet conducteur, doit donc être mis à la terre, parfois profondément, pour écarter le risque de recevoir une décharge électrique brutale (notamment en été).
Bombardés par les champs électromagnétiques ambiants, l'homme et les animaux sont également porteurs de courants induits. Certaines méthodes de gestion de l'énergie apprennent notamment à s'en décharger.

L'électricité biocompatible
La multiplication des sources de perturbations électromagnétiques dans les bâtiments et le logement, ajoutée à la capacité de propagation des rayonnements, doit nous inciter à la vigilance. Car si notre corps est normalement capable de se défendre contre ce type d'agression, il est préférable de lui ménager des moments de répit suffisants (surtout la nuit).
Il suffit d'un minimum de précautions pour se mettre à l'abri de ce type de pollutions et prévenir les troubles susceptibles d'en découler. C'est généralement à cause d'une accumulation d'erreurs dans les pièces où la durée d'exposition est la plus longue (chambres, bureau, atelier, salon…) que les problèmes de santé finissent par se manifester. La plupart du temps, ils surviennent chez les personnes qui ont pris de très mauvaises habitudes.
Par exemple, il faut proscrire :
- une mise à la terre partielle, ou non raccordée, des luminaires,
- les éclairages en bois ou en plastique, les lampes ou néons fixés sur une étagère en bois, qui empêchent toute mise à la terre,
- la présence de lampes murales de part et d'autre du lit,
- la présence de câbles électriques, de rallonges, de multiprises, ou d'un radioréveil, près de la tête du dormeur,
- la présence d'une chaîne Hi-fi, d'une télé, d'un écran d'ordinateur, d'un radiateur à accumulation électrique, du compteur électrique ou du ballon d'eau chaude, à proximité du lit,
- le transformateur du téléphone mobile (GSM) ou du portable (maison) mis à recharger la nuit près de la tête du dormeur,
- la présence d'un babyphone à moins d'un mètre du berceau d'un bébé,
- un lit placé au-dessus des transformateurs des lampes halogènes du rez-de-chaussée,
- une couverture ou un coussin chauffants sur le lit raccordés toute la nuit à la prise,
- la présence de moteurs de réglage de niveau sous un lit sans coupure bipolaire,
- la présence d'une lampe de bureau fixée au meuble ou au plan de travail avec bras articulé située au niveau de la tête (architectes, étudiants…),
- les appareils électriques de la cuisine à forte consommation de courant (lave-vaisselle, plaques à induction, four) et les prises de branchement de l'électroménager sans prise de terre…
La liste est longue.
Concernant le poste de travail, l'utilisateur veillera à ne pas être exposé à un champ électrique alternatif de plus de 16 V/m et à plus de 2 mG en champ magnétique, en se protégeant des champs émis par une disposition intelligente et une adaptation de son matériel.

Un dépistage dans chaque pièce de la maison, avec du matériel de mesure scientifique, assurera toutefois une juste appréciation de l'environnement.
L'électricité biocompatible apporte des solutions capables d'atténuer grandement les rayonnements perturbateurs, voire de les faire disparaître totalement, en recourant à différents procédés.
1. D'abord, après dépistage des champs, par un raccordement à la terre de tout élément métallique ou conducteur, relié à une prise de courant ou jugé suffisamment proche d'un champ électrique.
Pour un résultat vraiment performant, l'électricien devra tenir compte de données majeures, comme la nature du terrain, la valeur de la résistance, les installations en « épi » des câblages traditionnels, les sources éventuelles de courant vagabond…
L'expression « courant vagabond » se rapporte principalement aux tensions électriques ou aux courants alternatifs qui peuvent circuler dans une habitation ou dans une étable. Quand ils atteignent une intensité suffisante, ils peuvent traverser le corps d'un homme, d'une vache, ou de tout autre être vivant, et affecter sérieusement son état de santé et son comportement.
2. Ensuite, par une solution encore plus performante : l'utilisation du câblage blindé absorbant VMVB.
Issu de recherches de pointe, ce câble offre actuellement la meilleure protection contre les perturbations dues aux réseaux électriques dans les pièces où l'on séjourne (avec des appareils branchés en permanence).
Il est également recommandé dans le cas de matériaux qui diffusent les champs, comme le bois, le placoplâtre ou les panneaux de gypse cellulose de type Fermacell.
En plus d'isoler les rayonnements électriques, il atténue les hautes fréquences. Son principe consiste à enfermer le champ électrique dans une boîte conductrice (cuivre, aluminium, métal) et de la relier à la terre. Ainsi le flux est complètement supprimé.
Ce câble se pose et se travaille de la même manière qu'un autre câble.
Bien sûr, il protège uniquement jusqu'à la prise de courant. Aussi un complément s'avère nécessaire, notamment pour la protection de la chambre à coucher.
3. Enfin par un interrupteur automatique de courant (ou biorupteur).
Ce petit boîtier, relié au fusible de la pièce à protéger, coupe la tension électrique à l'origine du champ électrique dans le circuit donné (par exemple les prises alimentant les lampes de chevet du lit), dès l'instant où le dernier appareil s'éteint, ou que plus aucune consommation ne circule. La tension 230 V est alors remplacée par une tension de surveillance inoffensive de l'ordre de 10 V. Le biorupteur rétablit le courant aussitôt que l'on appuie sur un bouton électrique de la pièce mise en veilleuse.
Il est conçu pour les pièces sans appareil en fonctionnement, c'est-à-dire les pièces de repos ou de méditation.
Dans le cas d'une installation électrique existante, ou lorsque l'accès aux conduits électriques est impossible, l'interrupteur automatique de champs se place au niveau du tableau.
 
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